Impressionnant 
Dans les grandes lignes, j’ai acheté 35k€ une voiture qui en valait un bon 40k€. En tant que passionné, c’était un achat plaisir mais fait avec raison. Elle a finalement été volée, le remboursement a été plus conséquent que mon prix d’achat (valeur de marché).
Pour les amateurs de Porsche, certains modèles prennent en valeur chaque année (idem montres, tableaux, etc…).
Après le vol du véhicule, j’ai eu d’autres projets et investissements → Un achat plaisir ne doit pas être un poids ou un frein à d’autres projets d’avenir (familiaux, invests, …).
Après que la voiture, montre, tableau, vin valent 1K, 10K, 100K c’est à chacun de considérer le risque, si c’est un invest ou une dépense, etc…
Certains préfèrent partir en vacances chaque année pour 5K/an, certain prennent une voiture à 25K€ et ne partent pas en vacances pendant 5 ans, et certains mettent 25K€ dans du Pinel 
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Tu peux aussi avoir un achat plaisir à 5K que tu ne revendras pas ou avoir un achat plaisir à 30K que tu revendras 25K.
Peut être que dans qq années, tu considèreras qu’un achat plaisir ça peut être 7 ou 10 ou 15K. Heureusement, le rapport à l’argent n’est pas figé dans le temps.
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Je vois un paradoxe dans ta phrase « c’était un achat plaisir mais fait avec raison ». Je ne vais pas lancer un débat idéologique ni philosophique (quoique) mais il me parait impossible qu’un achat plaisir soit raisonné. Je dirais justement que c’est l’inverse. C’est justement parce qu’il fait appel au plaisir qu’il est totalement déraisonnable.
J’aime philosopher alors je vous partage ces quelques lignes :
Issu du latin placare (« apaiser »), le plaisir est ce que procure la satisfaction d’un besoin ou d’un désir. Physique ou psychique, il constitue avec la douleur l’un des deux pôles de la vie affective. La quête du plaisir est en général critiquée par les philosophes depuis que Platon a démontré qu’elle est insatiable, le plaisir étant ce que l’on veut toujours revivre dans un cycle sans fin, comme le redira Schopenhauer. Ainsi souvent perçu comme une satisfaction immédiate et superficielle des sens, par nature éphémère, le plaisir se différencie du bonheur, qui, lui, est censé être un état durable et stable – même si tous les plaisirs ne s’opposent a priori pas au bonheur. Il existe toutefois une doctrine morale qui fait de la recherche du plaisir le but légitime de la vie : l’hédonisme (de hédonè, « plaisir » en grec). Alors que chez les cyrénaïques, l’accumulation des plaisirs est justifiable, chez les épicuriens, l’hédonisme est ascétique : il ne s’agit que d’éviter la douleur pour être heureux. Longtemps réprimée par la morale et la religion, la quête du plaisir est aujourd’hui davantage légitimée au nom de la liberté (« Jouissez sans entrave », lisait-on en 1968 en réaction à un ordre moral et social jugé coercitif et frustrant) et, paradoxalement peut-être, de l’épanouissement de l’individu. Ainsi Michel Onfray défend-t-il dans ses œuvres un « art de jouir ». Le plaisir sexuel éprouvé dans la douleur ressentie s’appelle algolagnie : elle est la perversion du masochisme, tandis que le plaisir éprouvé à infliger de la souffrance à autrui caractérise le sadisme. En psychanalyse, le principe de plaisir, mis très tôt en évidence par Freud, est ce qui régule l’énergie psychique par réduction des quantités d’excitation. En esthétique, le plaisir accompagne le sentiment du Beau, car selon Kant, « est beau ce qui plaît universellement sans concept ».
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Entièrement en phase avec JoPa de mon côté : je vois aucun paradoxe dans sa phrase, il aurait pu se faire plaisir en achetant une voiture à 50K€ mais sa raison lui a dit qu’une voiture à 35k€ suffirait à lui faire plaisir.
C’est tout comme quand tu vas acheter une glace en été plutôt que de t’en passer, les montants ne sont pas les même mais la logique identique (et encore, la glace tu peux pas la revendre après utilisation, c’est 100% de la perte et 100% plaisir) 
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@notpy, pour éclaircir un peu :
« c’était un achat plaisir » → Au sens: ce n’est pas indispensable.
« mais fait avec raison » → Au sens: je n’ai pas cramé un budget que je ne pouvais pas assumer.
Petit sujet de philo sur la notion de « cher / pas cher / valeur perçue / etc », je te propose ton post:
Un achat plaisir c’est 1000-5000€ (soyons fou) et pas 30000 (dans mon monde
)
Sincèrement je comprends tes remarques et questions, ce sont les mêmes que j’ai déjà entendu lors de rencontres avec des gens n’ayant juste pas les mêmes priorités, envies, projets, …
Et je trouve ça normal, du moment que ça ne devient pas du « nan mais c’est mal de mettre autant dans une voiture alors que tu devrais plutôt … » 
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Beaucoup trop de mon côté environ 9% de mon patrimoine net, c’est une petite voiture bien équipée, mais petite voiture petite marque.
Mais je trouve que cette histoire de % de patrimoine est une mauvaise approche.
Si on roule très peu et qu’on garde la voiture 25 ans l’impact sera moindre . A quelle fréquence on renouvelle, quel sera le prix de revente ? Combien on devra réinjecter.
J’estime que le renouvellement de ma voiture, donc hors frais de fonctionnement, me revient environ à 160 euros par mois. Un peu plus de 10 euros aux 100 kilomètres, presque autant que l’essence.
Une personne avec un leasing de 300 euros et 20 000 km max par an sera à 18 euros aux 100 km dans le meilleur des cas.
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Tu fais clairement ce que tu veux de ton argent
Ce n’est pas du jugement, je me dis juste qu’on nous n’avons pas la même version de logiciel. C’est exactement ce que je viens chercher mais ça confirme pour le moment un autre biais: Finary n’est pas représentatif de la population (ce n’est pas une surprise hein!)
Je te rejoins totalement sur la durée de conservation du véhicule qui doit être ajouté dans ce ratio. (Comment l’intégrer?
On sait tous qu’une voiture est rarement faite pour tenir 25 ans et que le marketing/communication est fait pour nous faire comprendre qu’on a besoin de changer de voiture 
. La voiture est marqueté/conceptualiser/fabriquer comme un bien de consommation comme une autre.
Je trouve que ce topic n’a aucun intérêt… désolé !
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J’imagine que ton intervention l’est du coup ?
Rien ne t’oblige à y participer
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Moi qui ait la nécessité d’avoir un véhicule personnel j’essaie d’avoir une approche raisonnée de la chose comme avec n’importe quel produit d’ailleurs, on pourrait étendre la comparaison aux smartphones, électroménager, audiovisuel, habits et même au logement (si si)
J’ai des contraintes, donc un besoin et il faut que j’y réponde. Donc il faut trouver l’équilibre, comme pour n’importe quel bien de consommation.
Ma manière de le faire c’est le calcul du coût de renouvellement du véhicule à l’année ou au mois. Ca me permet de quantifier ce coût et d’ajuster en fonction.
Alors j’aurai pu prendre moins cher, mais moins fiable, plus consommateur, moins sécuritaire, avec une décote plus rapide. Une fois ça fixé, j’y ai ajouté 10% de plaisir dont j’aurai pu me passer.
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Arriver à mesurer le plaisir en %, c’est beau ! 
Salut,
Choisir une voiture qui sort un peu de l’ordinaire, voire une série limitée, un carnet d’entretien impeccable. Une Peugeot 205 gti en bon état peut coter 80 000 euros. Le prix de vente en 1987 était de 93 000 francs français. On parles pas de certaines séries limités vendus à moins de 500 exemplaires.
Jc
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C’est pas compliqué : J’ai besoin d’une voiture, j’ai des critères, je remplis les critères, j’arrive à 10 000 euros, la voiture remplit sa fonction mais ne m’apporte aucun plaisir.
Je rajoute 1 000 euros j’ai toujours mal au derrière mais j’ai le sourire. Donc je rajoute ces 10%
Je me pose la question de rajouter 2 000 j’ai 2 fois plus mal au derrière alors que mon sourire ne me provoque pas des crampes aux zygomatiques.
Avec ces 1 000 euros de différence je peux le dépenser dans un domaine où mon besoin ou ma satisfaction n’est pas comblée alors je mets que 1 000 euros de plaisir dans la voiture et 1 000 euros ailleurs.
On combine ça avec plusieurs réflexions :
Effet d’Akerlof :
George Akerlof a mis en évidence une exception à la loi de la demande appelé effet d’Akerlof ou effet de marque : les consommateurs ont parfois tendance à acheter un produit plus cher que le prix moyen en croyant acheter un produit de meilleure qualité.
Utilité cardinale et ordinale, biens substituables et non substituables, courbe d’indifférence, taux marginal de substitution : lire Adam Smith, Vilfredo Pareto, Marshall…
Bref on peut tout quantifier, ça va vite c’est une gymnastique plus ou moins exacte, c’est parfois plus psychologique que sociologique ou économique mais ça permet d’amener une réflexion, de se mesurer et pas besoin d’application budget.
Maintenant t’es tu demandé pourquoi tu épargnais ? Pourquoi tu investissais ? Dans quel but ? Quel horizon ? Les probabilités d’arriver à cet horizon avec la même situation professionnelle, familiale, en bonne santé ou même en vie ?
La satisfaction que tu en retireras face à la peine peut-être engendrée par quelques privations.
Certains ont fait ce calcul, ils épargnent et investissent à la hauteur de leurs besoins futurs et de leurs objectifs et le reste ils le dépensent, en nourriture, en voyage ou en Porsche.
Voir aussi les notions d’eudémonisme
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Yann darwin dans une de ses vidéos parle de l achat d une voiture. Entre 1 et 2% de notre patrimoine.
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Bonjour,
Mon avis et mon impression qui n’engage que moi. J’ai eu une voiture pendant 5 ans achetée cash d’occasion, 3 mois de salaire à l’époque. Ca devait représenter 5 % de mon patrimoine. Plus on est riche et plus ce ratio va diminuer. A un certain pallier, si mon patrimoine double, ma voiture ne vaudra pas forcément le double. La vitesse limite est la même pour tous.
Sur la route globalement, je vois de moins en moins de veille voiture (prime à la casse, CT). Il y a beaucoup de voiture neuve en leasing, on ne sort pas une grosse somme, mais une mensualité tous les mois. Sur le long terme, c’est clairement plus cher, j’avais fait les calculs. A chacun de comparer la location, l’achat et le placement de la même somme. Cela reste néanmoins fiscalement intéressant si cela passe en voiture de société pour les personnes à leur compte.
Il ne faut pas oublier que la voiture est associée à un marqueur social, je l’ai vérifié dans mon entourage, ce ne sont pas les plus riches qui ont les plus belles voitures. beaucoup de jeunes vont s’acheter une sportive dès qu’il le pourront tandis que les cadres se contenteront d’une berline française. Les économies ne sont pas placées aux mêmes endroits, les objectifs de vie sont différents.
Quand ont voit l’impact sur le budget d’une famille (avec le logement), l’idéal est de pouvoir s’en passer quand on peut.
J’ai la chance d’avoir depuis 2 ans une voiture de fonction, donc je ne pose plus la question.
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La LLD permet aux constructeurs de produire des voitures et de les liquider auprès de personnes qui n auraient pas les moyens de les acheter. Les gens roulent avec des voitures neuves, les routes sont sécurisées et les constructeurs se fabriquent un parc d occasion 3-4 ans après. Et le PIB monte. Tout le monde est content, même les clients. Sauf ceux qui font attention à leur budget. Car comme dans le pinel, le client est rarement gagnant.
Si tous les constructeurs font du LLD, on peut s imaginer où se trouvent les gagnants
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Pour notre famille, on a un C4 Picasso de 2013. Acheté cash 6400€ il y a 4 ans.
Cette voiture banale est bien pratique pour notre usage avec 2 jeunes enfants. On va la garder tant qu’elle marche bien et qu’on n’a pas de grosses réparations à faire.
Elle représente moins de 1% de notre patrimoine net. Cette voiture n’est clairement pas notre priorité et on la considère comme un « bien utilitaire » et pas un « bien plaisir ».
A côté de cela, j’ai quelques vielles 2CV que j’adore et qui prennent de la valeur.
J’ai du mal à comprendre toutes ces grosses voitures récentes > 40K€ qui pullulent dans les villes.
La plupart sont des véhicules d’entreprise ou des leasings, mais cela me dépasse de mettre une grosse partie de son budget dans une voiture qui représente une charge.
Comme l’explique Robert Kiyosaki, il faut acheter des actifs, pas des passifs
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9 % pour moi.
J’ai un patrimoine modeste 60K
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