Bonjour à tous,
Je me pose une question assez concrète sur le lien entre gestion RH et optimisation fiscale dans une petite entreprise ou une microstructure :
Est-ce que le fait de mieux cadrer les absences, les notes de frais, les variables de paie, etc., peut avoir un réel impact en matière de fiscalité (URSSAF, charges, contrôles, etc.) ?
J’aide actuellement une entreprise à structurer ces éléments avec un outil comme Staff’n’Go qui permet de tout centraliser (plannings, absences, bulletins, signature électronique…). C’est surtout pensé pour gagner du temps et éviter les erreurs, mais je me demande s’il y a aussi des leviers fiscaux ou sociaux indirects derrière (meilleure traçabilité, moins de redressements, gestion plus fine des charges).
Des personnes ici ont-elles déjà observé un effet fiscal positif suite à la mise en place d’outils RH ou d’une organisation plus structurée ? Je suis curieux de vos retours !
Un outil ou logiciel externe ne vous fera jamais « payer moins de cotisations sociales » par magie. Il existe certes des leviers d’optimisation de la rémunération, mais ils doivent être encadrés, justifiés et déclarés dans les règles.
Il est possible de moduler une partie de la rémunération via certains dispositifs exonérés partiellement ou totalement de charges sociales:
la prime de partage de la valeur (PPV),
les primes Macron,
les participations et intéressements,
les chèques vacances,
ou encore les cadeaux salariés.
Chacun de ces dispositifs est soumis à des conditions précises : plafonds, dates de versement, règles de non-substitution au salaire, déclarations spécifiques, etc.
Si vous avez une structure (entreprise, société), votre expert-comptable est votre meilleur interlocuteur pour vous accompagner sur ces sujets.
mais sachez qu’il n’existe pas d’optimisation sans contrepartie : chaque solution implique des règles à respecter et des limites.