Disons que je ne me satisfait pas de placer simplement sur un ETF world. J’assume les risques et en conséquence j’essaie de trouver des instruments pour controler mon risque avec plus ou moins de bonheur et de chance.
The article explores the feasibility of market timing, often considered an investing sin, using a combination of contrarian and trend-following strategies. Authors apply these ideas to stocks and bonds and their combination; arguing that if employed in moderation, market timing can be a virtue.
To be sure, market timing is very hard. For those who think market timing a two-asset mix of stocks and bonds is impossible, authors give some measured hope, while for those who think it’s easy, authors show that it isn’t. The authors’ advice is therefore to « sin a little. »
The authors suggest the following practical recommendations for market timing:
Combine signals: Contrarian and trend following signals tend to diversify one another and seem to work best as equal partners.
Breadth is important: Timing across asset classes (more than one) is important, as is using multiple signals; contrarian and trend following (among other styles like carry, low risk, and high quality) are shown to be useful. So use timing in as many places as possible.
Timing is a modest reward-for-risk strategy: Timing has the potential for rewards, but it is not a high-return-for-risk strategy. As such, investors should employ timing, but only in very moderate amounts.
Act in moderation, not binary: Don’t employ market timing by getting in or out of an asset class entirely. It makes much more sense (and more likely to succeed over the long haul) to own less of an asset class when you are less positive on it, and vice-versa.
Je suis assez d’accord avec l’article « réaliste » que tu cites, même si le particulier est bien loin d’avoir les outils des professionels pour se faire.
A partir du moment, où tu as conscience de la situation et que tu prends du plaisir à te former, tu as bien raison de procéder ainsi.
Tina” investment narrative — that there is no alternative to investing in the US.
Sur-performance du marché US vis à vis reste du monde justifiée par les résultats des sociétés
Pourquoi sur le world plutot que sur le SP500?
Je ne comprend pas bien car quand ça monte, le SP500 monte plus , et quand ca gamelle, les 2 plongent de la meme facon.
Les US ne sont pas toujours en tête (on se rappelle du Japon à la fin des annnés 80 / au début des années 90)
la diversification est évidemment meilleure en World, le côté autonettoyant des indices y fait rentrer ce qui monte le plus de toutes façons
en fait la volatilité du World est un peu plus faible que celle du SP500, donc les deux ne gamellent pas de la même façon
Cependant le World fait un peu moins bien ces temps-ci que le SP500…
… mais le SP500 ne fait pas toujours mieux que le World: il fait mieux depuis 15 ans, ce qui est peu différent
J’ai d’ailleurs retrouvé une courbe parlante qui compare la perf du SP500 vs le MSCI World: Forum masdividendos / SP500 vs MSCI World par an
De toutes les façons le World est une bonne option, mais le SP500 aussi
Le Word permettant de ne pas se poser de questions, le SP500 de performer un peu plus ces dernières années.
Intéressante cette courbe, on se rend compte que il y a de longues périodes où SP>World et vice-versa.
Il faut quand même garder en tête qu’en 15 ans on est passé des Banques françaises qui allouaient grosso modo 20-25% des portefeuilles clients « dynamiques » sur les US a se poser la question faut -til opter pour le World (où les US représentent 65-70% ) où full US.