USA will be back one day. La suite de y a pas que les Etats Unis dans la vie

Et maintenant se pose la question quand se repositionner sur le marché.
Une première approche Pour réinvestir il faut attendre que Buffet bouge. Mais attention il faut de la patience. Le 22 février 2025 il avait prévenu à sa manière. Voir ici Et quasi symboliquement (22 millions !) Il avait liquidé ses positions dans 2 etf SP500. On l a beaucoup admiré et beaucoup beaucoup critiqué mais aujourd’hui les actionnaires de Berkshire Hathaway se frottent les mains.

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Quand se repositionner dans le marché : ne pas en être sorti et attendre sagement mon prochain DCA.
Si ça perd encore 10% d’ici là je n’exclue pas d’avancer 50% de mon dca suivant pour être sûr de bénéficier de la baisse.

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En gros tu fais du market timing…. Parceque rien ne te dit que ça ne re baissera de 10% encore après et que si tu avais fait ton DCA normal tu aurais mieux profiter de la baisse.

Ouais c’est du market timing gentillet qui ferait baisser mon PRU. wait and see!

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Oui bien sûr c’est gentillet. Mais ça peut aussi faire monter ton PRU :wink: ah les émotions, difficile d’y résister!

Le monde est concerné par la bourse des US, c’est l’effet papillon.
Les US vont mal, toutes les bourses dévissent.

Faut voir au delà du marché action et se tourner vers d’autres actifs dans ce cas.

Exactement mon point Samus. Ce poste ne s’adresse pas aux DCAistes. Ceci dit rien contre le DCA qui a dĂ©montrĂ© sa pertinence en phase d’accumulation de capital. Mais quand le marchĂ© et l’économie mondiale subissent une telle dislocation c’est le moment de remettre en question ses options d’investissement. Il n’y a pas que le Nasdaq et SP500 dans la vie. Quelques rappels, en dĂ©cembre 2024 (une Ă©ternitĂ©) tout le monde de s’ extasier sur les magnifiques 7 et l’exceptionalisme US et l’Europe dĂ©finitivement enterrĂ© et l’investissement en obli totalement ringard. Relisez les postes sur Finary. Toutes ces certitudes d’autrefois (moins de 4 mois) sont balayĂ©es. IShares Core U.S. Aggregate Bond 6.25% sur 200 jours jeu Ă©gal avec le SP500 6.72%. Ce qui se passe est une occasion unique. Il faut souvent attendre plus de 10 ans pour que de telles opportunitĂ©s se mettent en place. Donc c’est l’occasion de rechercher la valeure, abandonner ce qui a Ă©tĂ© surĂ©valuĂ©. Quels sont les facteurs qui vont performer dans ce nouvel environement, valeur vs growth, small cap vs large cap ? les assets commodities, gold, obligations ? On a du pain sur la planche en tant qu’investisseurs. Tout le monde se disait c’est pas possible quand Goldman et JPMorgan on sorti leur prĂ©visions de rendement pour les marchĂ©s amĂ©ricains, aux alentours de 3%. Mais comment ça, pas possible ils se sont trompĂ©s, etc…Il est tout Ă  fait possible que pour les 10 ans Ă  venir les rendements du SP500 et Nasdaq soient anĂ©miques.[quote=« ZakZak, post:1, topic:18449 Â»]
Le ratio cours-bénéfice prévisionnel de près de 22 implique un rendement annualisé de seulement 3 % au cours des trois prochaines années,
[/quote]
L’or a été dédaigné par les investisseurs individuels et regardez le résultat. A nous de poser les bonnes questions, de nous informer et remettre en question nos stratégies et nos certitudes. Je posterai ici au fur et à mesure que de nouvelles certitudes et narratifs se mettent en place.

un premier élément de réflexion de Goldman Sachs
la conclusion:
“As a result of that, you now want to think about diversifying not just regionally, but also across styles,” he adds. In particular, this includes low-volatility stocks — equities from more defensive sectors, which tend to fluctuate less than the rest of the market.

In the first two weeks of March, low-volatility indexes in Europe and the US materially outperformed other stocks in both regions. This marks a break from a spate of poor performance from low-volatility indexes since the time of the Covid pandemic.

Optimism about growth recovering in the wake of the pandemic coupled with rising bond yields has weighed on defensive sectors, which tend to have more debt and thrive in less optimistic market environments.

Now, Mueller-Glissmann says, both of those factors are starting to work in favor of low-volatility stocks, “because the market is getting a bit less bullish, and bond yields have come down a bit — especially in the US.”

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latest Weekly S&P500 #ChartStorm!

Learnings and conclusions
En réalité, le point essentiel à retenir est que tout ce qui semble haussier en ce moment n’est bon que pour un rallye à court terme, et les investisseurs à la recherche d’opportunités d’achat générationnelles devront probablement être patients et laisser les choses se dérouler.
Les conditions techniques et le sentiment sont propices à un rebond, mais les facteurs fondamentaux/macro et de valeur semblent encore en phase initiale (de marché baissier). Il faudrait un événement exceptionnel et surprenant pour renverser la vapeur à ce stade. Les chasseurs de hausse peuvent donc tenter leur chance, mais les investisseurs doivent faire preuve de patience et de prudence dans la recherche d’opportunités d’achat générationnelles (pas encore).

Il va avoir des tas de rebonds techniques au fil des déclarations de Trump suivis d’ autant de baisses pour de nombreux mois. 2 catalyseurs pour un rebond un peu plus durable, assouplissement des droits de douane (jamais Trump abandonnera), reduction anticipée des taux par la FED (rien n’est moins sur excepté si assouplissement droit douanes qui laisse espérer un moindre retour de l’inflation). Néanmoins la confiance est définitivement cassée sur les 12 prochains mois et possiblement sur tout le mandat Trump.

Is value Investing making a comeback
Brian Connolly and Andrew Finch
Résumé S&P Global
Analyst Expectations and Historical Growth the top performing style year-to-date.

Deep Value stocks in the Healthcare and Materials sectors have demonstrated the strongest performance so far this year.

The current high volatility environment may favor refined stock picking, enabling the identification of undervalued stocks with strong fundamentals.

From FT
To start, here is the 15 worst performers in the S&P 500 during the sell-off:

There are, to simplify quite a bit, two main kinds of companies here (some are a mix of both types). The first are companies whose supply chains are going to be absolutely whacked by the tariffs. The tech importers fit there (Micron, Western, Dell, GE HealthCare).The second is energy, commodity and financial companies that are very sensitive to rising odds of recession (APA, Diamondback, Freeport, Apollo)…

reduce earnings per share on the S&P 500 by 11 per cent.
incorporating persistent tariffs at the current level would, on its own, bring the fair value of the S&P index to 4700…
On the question of impact on aggregate demand, JPMorgan’s chief US economist Michael Feroli is now projecting that full year real GDP growth will fall slightly, unemployment will rise to 5.3 per cent at year’s end (it is now 4.2 per cent), and core PCE inflation will rise to 4.4 per cent…
The . . . announcement and implementation of these tax increases has made the incompetence and thoughtlessness of this administration even more obvious. The nonsensical “reciprocal” tariff rates published on April 2 were, as best as anyone can tell, generated by a chatbot. Officials repeatedly lied about how the rates were calculated, claiming that each economy’s “tariff and non tariff barriers” policies were quantified individually . . . Traders have responded by placing a “moron risk premium"