Je souhaiterai lancer un sujet de discussion qui ne me semble pas avoir été abordé dernièrement.
Ne trouvez-vous pas qu’un sentiment de bulle (ou surévaluation forcée par le marché si vous préférez) est en train de se propager autour des entreprises du secteur environnemental et énergétique ?
Beaucoup d’entre elles connaissent des hausses de cours exceptionnelles depuis 18 mois alors que les performances d’exploitations sont loin d’être à la hauteur et stables. Certes, les investisseurs que nous sommes voyons les intérêts futurs et les opportunités de ce secteur d’activité qui est censé grandir en importance pendant de longues années encore mais cela reste-t-il intelligent (selon le niveau de risque accepté par chacun) de se positionner actuellement sur ces titres qui de manière générale sont surévalués ?
De mon point de vue, c’est une situation que j’accepte et sur laquelle j’arrive à évoluer depuis plusieurs mois désormais car je ne vois pas (encore ?) ce qui pourrais venir chambouler structurellement ces sociétés et ce secteur, mais n’était-ce pas le même mode de penser que beaucoup d’investisseurs avaient avant la bulle internet ?
N’hésitez pas à apporter davantage d’éléments à la conversation.
Je n’ai pas toutes les réponses et vais suivre la discussion, mais ces entreprises ont quand même un avantage plutôt sympa pour une fois : on a pas fini de résoudre le changement climatique x)
Aucune idée si elles sont surévaluées, mais les futures lois environnementales vont (je l’espère) se resserrer de plus en plus et les mauvaises entreprises vont (je l’espère) tomber ! Il devrait rester celles-ci à la fin.
Je vois ces entreprises comme moins risquées, car déjà alignées avec les priorités des prochaines décennies.
Un autre sujet en lien qui pourrait t’intéresser :
J’aurais aimé que le climat ne soit qu’une mode ^^ je suis d’accord que les valeurs actuelles sont potentiellement trop valorisées puisqu’elles sont rares/concentrées par rapport à l’offre qu’on devrait avoir si on s’occupait sérieusement du problème, mais la tendance de fond reste une dérive constante, pas une mode passagère.