Bonjour tout le monde,
Étant de nature à vouloir tout optimiser comme la plupart d’entre vous, j’aimerais partager avec vous une réflexion et éventuellement avoir le retour de certains qui auraient eu la même.
J’ai un peu plus de 30k sur mon PEA chez Bourse Direct, et quasiment le même montant sur mon assurance-vie Linxea Avenir 2 (soit donc 60k au total investi à 100% sur ETF actions).
J’ai comme prochain objectif d’investir en immobilier locatif afin de profiter du premier effet de levier, qui est le crédit bancaire. Pour financer les 10-20% de fonds propres, très souvent demandés par les établissements bancaires, j’aimerais faire intervenir le deuxième effet de levier, que peuvent-êtres les avances sur assurance vies, les crédits lombards sur PEA ou nantissement de titres boursiers.
De ce que je sais, une avance sur AV ou un crédit lombard se fait sur une base de 60% en moyenne de la VL du portefeuille de titres. J’ai donc hypothétiquement 60% de 60k = 36k€ de levier pour financer l’apport de mes prochains investissements immobilier.
EXEMPLE: Achat d’un bien à 200k avec 10% d’apport (20k€)
→ Quelle est selon vous le scénario le plus optimal pour financer son apport tout en répondant à ces objectifs ?
- Mettre le moins d’apport possible
- Récupérer le plus rapidement possible son apport
- Maximiser ces effets de levier et son TRI
- Négocier un différé de remboursement de minimum 2 ans
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Je fais une avance sur AV ou crédit Lombard sur PEA et je rembourse grâce aux loyers accumulés pendant un différé de remboursement (que j’aurais négocié). Je gage donc 33K pour récupérer une avance de 20k. J’emprunte ensuite 180k.
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Ouverture puis nantissement d’une AV au sein de la banque prêteuse. Mais quelle serait la valeur prise en compte par la banque ? 60% de la VL comme pour les assureurs du scénario 1 ? Je nanti donc 33k ou plus pour en emprunter 200k
Dans les deux scénarios, l’objectif se doit de rembourser ses « avances/crédit lombard/nantissements » au plus vite afin de redisposer de cet apport pour d’autres projets ?
Pensez-vous que cette réflexion de maximiser cet effet de levier est bon ?
Et si oui, quelle est votre façon de l’appréhender dans votre stratégie globale ?
Hâte de vous lire et d’échanger
Victor,