Je ne crois pas que ce soit le point principal par contre. On peut surperformer avec des actions aussi basique qu’Air liquide.
Les légendes youtubesques portent plus sur le fait que c’est grâce aux dividendes, et que ça ne peut pas s’arrêter.
Avez-vous au moins lu ses interventions et affirmations complétement lunaires?
(Plusieurs intervenants ont essayé gentiment de lui expliquer qu’il raconte des bêtises, non seulement il s’en offusque mais en plus il insiste).
Les informations de qui ?
Je me concentre essentiellement sur les remarques et questions de Rémi qui, sauf erreur de ma part, n’envisage à aucun moment les actions à dividendes comme moyen d’atteindre son objectif d’ici 20-25 ans.
J’admets que ce débat dépasse mes connaissances. Les actions à dividendes ne m’intéressent pas pour le moment, et je ne pense pas que ce soit pertinent pour quelqu’un de 20 ans qui envisage de fire à 45 ans.
Bon il semblerait que vous soyez intervenus sans prendre un minimum le temps de comprendre de quoi il retournait.
Il s’agit des interventions d’Eric90 qui conseille une stratégie à base de dividende dans un but de capitalisation à un débutant et que ses affirmations relèvent de la dinguerie.
Mais comme il insiste, effectivement cela génère des réponses et interventions en contre (Puisqu’il faut débunker chacune de ses dingueries, ce qui n’est pas simple car il en débite).
Hello @Remi332,
Bravo de t’intéresser à l’investissement dès maintenant.
Je tique sur ton idée d’utiliser le PEA de ta compagne pour toi.
C’est le sien. Un meilleur move serait qu’elle en ouvre un pour elle, dès maintenant, et qu’elle investisse pour elle dessus.
4 « J'aime »
Effectivement j’ai vu sa première réponse et sa suggestion d’actions françaises à dividendes. Mais pour moi ça n’avait aucun rapport avec la choucroute et je suis passée à autre chose.
Car effectivement nous sommes d’accord tous les deux sur le fait que ce n’est PAS approprié au profil de la personne qui a posé la question et qui avait une stratégie à la base pas déconnante (etf monde capitalisant sur pea), à part sur un point, qui est celui d’utiliser le PEA de sa compagne pour y mettre son propre argent.
1 « J'aime »
En effet je me suis simplement mal exprimé, ma compagne veut investir également et quand je disais d’ouvrir un deuxième pour moi au final les deux sont pour elle et moi…
Mais je comprend le fait d’en remplir un chacun en cas de séparation. On ne sait pas de quoi l’avenir est fait 
2 « J'aime »
Moralité : le ton et la bienveillance, ça compte dans une argumentation, même quand on dit des choses justes.
4 « J'aime »
@Remi332 si tu as la curiosité, un debat pile autour du sujet, tout frais
Je crois que dans tes calculs tu n’as pas considéré que sur les prochains 12 ans ton train de vie va sûrement changer. Faut déjà analyser tes sources des revenus et des dépenses ce qui influencera la capacité d’épargne future. T’as pleinement le droit de ne pas du tout changer de style de vie dans les prochains 12 ans mais statistiquement ça serait très rare.
2 « J'aime »
Courage à ceux qui essaient de raisonner Eric90. Je n’en aurais pas la force personnellement…
3 « J'aime »
Sur une entreprise qui fonctionne bien, il y a des bénéfices, qui sont soit
- versé en dividendes
Et si on les réinvesti, on peut avoir des gains a partir de gain (=mécanisme des intérêts composé) - ré-investi dans l’entreprise. Et dans ce cas, c’est moins direct, mais ça fait que l’entreprise pourra produire plus/mieux et générer des revenus en plus grace a ses revenus.
Ça revient a générer de la valeur grâce aux intérêts.
Dans les deux cas, on a des courbes exponentielle grâce à des intérêts composées.
Après si l’entreprise va mal, forcément ça ne fonctionne plus. D’où l’intérêt d’un ETF bien diversifié pour tenter de garantir une croissance long terme qui générera cet explonentiel d’intérêts composé
Déjà dit plus haut mais le thread commence à être un peu long…
Lors du détachement d’un dividende de 5€ d’une action valant 100€, le cours de l’action passe à 95€. Si tu réinvestis 5€, tu possèdes 100€ comme au début.
Pas de gains dans cette opération, indépendamment des hausses et des baisses de cours qui pourraient avoir lieu
1 « J'aime »
Je ne suis pas vraiment d’accord Aurélien : dans le cas où l’entreprise est en croissance, ne verse aucun dividende à ses actionnaires et réinvestit ses bénéfices dans sa propre croissance, il n’y a aucun intérêt de fait, donc aucun principe d’intérêts composés. Cela n’a pas de sens. Car quand on parle d’intérêts c’est un revenu annuel, versé à l’actionnaire, directement ou indirectement. Ok la variation du prix de l’action peut augmenter fortement, mais cela n’a rien à voir avec la courbe exponentielle, qui est une fonction croissante très précise.
Dire que la strategie a dividende n est pas pertinente peut s entendre parfaitement encore faut il la comprendre
Lorsqu’on decide de s interesser aux dividendes c est pour augmneter le nombre d actions detenues et de fait recevoir d annees en annees davantage de dividendes
De dire simplement le capital sera identique le jour du detachement en reinvestissant les dividendes c est s arreter au debut du raisonnement et c est souvent ce que repetent les influenceurs d ailleurs.
Ce ne sont pas des intérêts composés car il n’y a pas d’intérêt. Mais le fonctionnement est le même, et l’efficacité est la même.
Dire a quelqu’un qui veut profiter des intérêts composées (car il a vu quelque part que c’est ça qui permet de faire croître le capital de plus en plus) que sa seule solution c’est le livret A a 2%, c’est l’envoyer dans le mur.
Il y a sûrement un problème de vocabulaire, mais ce que les gens recherche quand ils parlent d’intérêts composés c’est de la croissance grâce à la croissance, ou effet boule de neige, et pour ça, n’importe quel placement qui monte fonctionne
Tu évoques mon message quand tu parles d’envoyer quelqu’un dans le mur avec le livret A ? Il faut me relire car je n’ai jamais dit qu’il n’y avait que ça avec des intérêts composés.
J’ai bien précisé qu’on pouvait retrouver cela sur les actions et que dans ce cas on peut dire que c’est le principe des intérêts composés mais appliqué à la bourse.
Et en effet lorsqu’une entreprise croit et reinvestit systématiquement ses bénéfices dans sa croissance, il y a un effet boule de neige, les petits bénéfices peuvent engendrer de gros bénéfices, effet équivalent aux intérêts composés et ça peut se voir sur les cours mais dans ce cas il vaut mieux parler de bénéfices composés.
Enfin attention à ta dernière phrase : n’importe quel placement qui monte n’a pas forcement cet effet boule de neige, donc un cours à la croissance exponentielle. Exemple : une action a un cours de 100€ puis l’année suivante 110€ puis l’année suivante 120€ puis 130€, etc. En fait ça monte toujours mais que de 10€ par an. Dans ce cas la croissance est linéaire et non pas exponentielle et il n’y a pas d’effet boule de neige, pas de composition car si l’année 1 le rendement est de +10%, l’année 2 ça baisse à +9,09% et ainsi de suite. Les bénéfices font des bénéfices de plus en plus petits en pourcentage… ca monte toujours mais c’est mauvais signe pour le long terme.
1 « J'aime »
D’autant plus que c’est techniquement faux (puisque l’on en est à pinailler), car il faut alors déduire les frais engendrés par le réinvestissement.
Même si on considère qu’ils pourraient ne pas être significatifs ils peuvent avoir un effet d’érosion sur le long terme.
En fait si car, même si le mot « intérêt » est un abus de langage, son usage dans la terminologie « Intérêts composés » désigne une notion dont l’usage est devenu courant et qu’au final c’est tout ce qui importe:
A moins de vouloir engendrer une certaine confusion.
2 « J'aime »
Si une notion devient impossible à définir les débats dessus deviennent stériles du coup.
Elle est très peu appropriée pour les actions et fait oublier qu’une action peut baisser suite à un détachement de dividende.
Ou même descendre à zéro à tout moment.
C’est pour ça que je suis dubitatif. Certes ça peut avoir un intérêt en terme de pédagogie sur l’importance d’investir. Mais si on s’arrête là, on n’a rien compris
1 « J'aime »