Blast Club avis : ce qu'il faut savoir sur le projet d'Antony Bourbon

Justement : y’en a pas.
Pourtant y’a dĂ©jĂ  eu pas mal de levĂ©es communautaires, y compris de trĂšs foireuses. Mais aucune n’a servi Ă  faire du cashout, avec un montant si Ă©levĂ©, un % si Ă©levĂ©, et aussi tĂŽt.

Tout ceux qui connaissent un peu les process de levĂ©e savent que c’est extrĂȘmement rare (et trĂšs mal vu) que des fondateurs cashout dans un premier tour. D’ailleurs, je pense que les membres de Blast verraient d’un mauvais Ɠil que les levĂ©es auxquels ils participent via le club servent Ă  payer les fondateurs, au lieu de financer l’entreprise.

Tous les chiffres (s’ils sont vrais, mais tout le monde a l’air d’attaquer le messager et les dĂ©tails, mais pas les chiffres) devraient alerte sur l’hĂ©rĂ©sie qu’est cette cession.

3 « J'aime »

« Quant aux gĂ©rants tradis, il suffit de regarder n’importe quel FCPI chez Eurazeo, Daphni ou Kima pour se rendre compte qu’ils sont trĂšs loin devant. Â»

Ca c’est complĂštement faux par contre. En effet un fond qui « dĂ©ployerait Â» 100M€ par an se placerait immĂ©diatement comme le plus gros fonds français.

Bon sinon 0 commentaire sur cette affaire. Encore une fois on ne pourra pas dire qu’on n’avait pas prĂ©venu.

Anthony Bourbon vient de tweeter Ă  ce sujet x.com

Anthony Bourbon vient Ă©galement de rĂ©pondre sur LinkedIn : Anthony Bourbon ⚔ on LinkedIn: Blast. RĂ©ponse | 77 comments

Les arguments utilisĂ©s, qui sont les mĂȘmes qu’ici, sont particuliĂšrement dĂ©gueulasses, et ressemblent Ă  une mise Ă  mort personnelle pour rĂ©gler des comptes personnels.

Les arguments sur le fond sont Ă©galement les mĂȘmes qui avaient dĂ©jĂ  Ă©tĂ© utilisĂ©s Ă  droite Ă  gauche : ça rĂ©pond sur quelques dĂ©tails, mais pas vraiment sur le fond de pourquoi cĂ©der autant de % aussi rapidement pour une boite qui marcherait aussi bien.

Exactement, ça va finir comme avec Oussama Ammar. Dans quelques annĂ©es il y aura le scandal, les procĂšs, mais il sera trop tard pour les investisseurs plumĂ©s par le private equity ultra chargĂ© (de frais et de comm’)

6 « J'aime »

« AttaquĂ© Â» aussi par les Echos. Quand on voit les commentaires cela fait trĂšs peur. De vrais disciples Ă  la dĂ©fense immĂ©diate et irrationnelle de leur gourou.

RĂ©actions presque aussi viscĂ©rales que si on critiquait la vaste fumisterie qu’est le bitcoin.

OK, je :point_right:
:grinning:

1 « J'aime »

Il semble que « quelqu’un Â» ait fait « sauter Â» le compte de Benjamin Charles sur LinkedIn :eyes:

Je trouve ça incroyablement grave. Et le fait que tout se passe dans une relative indiffĂ©rence m’indigne vraiment !

DĂ©jĂ  parce qu’il est question d’un chroniqueur qu’on pourrait assimiler Ă  un journaliste, puisqu’il y a bien un mĂ©dia. Certes c’est pas Le Point ou Le Monde, mais y’a une audience niche et un travail rĂ©current. Attaquer un travail journalistique avec ce degrĂ© de violence est inadmissible. Surtout que les quelques lignes qu’Anthony Bourbon Ă©crit sur le fond, ne viennent pas vraiment contredire la vĂ©ritable problĂ©matique soulevĂ©e. Mais si c’était restĂ© une bataille d’arguments, pourquoi pas. Qui peut se rĂ©jouir qu’on fasse supprimer le compte d’un chroniqueur aprĂšs un billet, quand bien mĂȘme on peut contester sa lĂ©gitimitĂ© ?

Mais surtout, l’acharnement d’Anthony Bourbon est ignoble. Il est impensable que tout ça ne soit pas organisĂ©, puisqu’ici-mĂȘme les arguments qui seront repris par Anthony Bourbon ont Ă©tĂ© Ă©crits ici plusieurs jours avant, par des membres du club. J’ai pour ma part dĂ©couvert la publication LinkedIn d’Anthony Bourbon via sa story Instagram, qu’il a partagĂ© 3 ou 4 fois dans la journĂ©e. Il y a notamment mis des commentaires immondes, dont un qui m’a marquĂ©, ressemblant Ă  « Merci de l’avoir terminĂ© Â».

Je suis atterré, vraiment, que quiconque puisse cautionner ça.
Et que chaque personne qui remet en cause sa méthode soit assimilé à un défenseur de la pédophilie.

On a affaire Ă  une personne qui a visiblement commis des faits graves, et Ă©tĂ© condamnĂ©. Tant mieux qu’il ait Ă©tĂ©, c’est la preuve que la justice marche parfois. S’il avait Ă©tĂ© question d’une nouvelle affaire, ou d’une alerte neutre, j’aurais pu comprendre la dĂ©marche. Ici, il s’agit tout bonnement d’anĂ©antir un individu sur la place publique pour son propre compte, de se rĂ©jouir des consĂ©quences, sans mĂȘme imaginer ce qui pourrait arriver.

Je ne conçois mĂȘme pas que quiconque puisse trouver ça normal.

9 « J'aime »

Il est effectivement question de chercher Ă  dĂ©tourner l’attention de ce qui est en train de se passer chez Blast, en cherchant Ă  couper la tĂȘte du messager parce qu’il a diffusĂ© le message. Et pour cela tous les moyens (odieux) sont bons.

4 « J'aime »

Je n’ai pas pu m’empĂȘcher de mettre un petit commentaire pour rappeler le montant exorbitant de ces frais (sa rĂ©ponse est complĂštement Ă  cotĂ© de la plaque, je le soupçonne de ne pas rĂ©pondre lui mĂȘme aux commentaires).

Remarquez sa publication a permis de contourner complùtement le sujet initial sans s’expliquer vraiment 

Comme dis plus haut dans 5 - 6 ans les petits particuliers vont se réveiller avec un gout amer


Vous trouvez odieux et dĂ©gueulasse de rappeler qu’un pĂ©dophile est un pĂ©dophile ?

À gerber :face_vomiting:.

La communautĂ© Finary ce n’est pas pĂ©doland !

PS : ça n’empĂȘche aucun media propre de dĂ©noncer les pratiques de Blast par les mĂȘmes mots.

1 « J'aime »

Vu de l’extĂ©rieur, la contre attaque ad hominem & sous la ceinture d’Anthony Bourbon sur les critiques Ă©conomiques faites Ă  l’encontre de son projet est un red flag de plus


En revanche, ce contre-feux semble assez efficace pour les sympathisant/membres du projet. Et seuls leurs avis comptent pour Blast (je vous laisse deviner pourquoi ;).

3 « J'aime »

Les membres ont bien pris en compte toutes vos remarques et ont pris une décision :
« SuccĂšs de l’augmentation de capital de Blast Army 2 pour un montant total de 32.899.496 € aprĂšs exercice de la clause d’extension. Â»
J’espùre qu’on a bien compris.

1 « J'aime »

Oui, ça l’est, doublement.

DĂ©jĂ  parce que personne n’a Ă  porter un jugement psychiatrique sans en avoir les compĂ©tences, et personne n’a Ă  rejuger des faits condamnĂ©s. Sinon la justice n’a plus de sens. D’autant que les faits n’ont rien Ă  voir avec le mĂ©tier qu’exerce la personne actuellement, et qu’il n’y a aucune accusations nouvelles.
Mais admettons que ça puisse ĂȘtre entendable dans le cadre d’une « warning Â» gĂ©nĂ©rique.

Cependant, dans le cas prĂ©sent, l’accusation et le « remember Â», qu’ils soient par Anthony Bourbon, ou pas vous et d’autres qui se sont succĂ©dĂ©s, n’ont rien d’une quelconque affirmation. Il s’agit uniquement d’utiliser un fait prĂ©cis pour dĂ©crĂ©dibiliser une enquĂȘte, de se rĂ©jouir d’un harcĂšlement, puis que de la suppression de la parole d’une personne. La seule et unique cause Ă©tant qu’elle ait parlĂ© de Blast.
Et ça, oui, c’est odieux, dĂ©gueulasser, Ă  gerber, et sans doute parfaitement condamnable.

Enfin, il me semble que si, justement ça empĂȘche que des mĂ©dias dĂ©noncent les pratiques de Blast. Parce que si on parle aujourd’hui de cette attaque violente contre un blogueur, Anthony Bourbon a dĂ©jĂ  fait pareil Ă  de trĂšs nombreuses reprises sur des concurrents ou d’autres blogueurs. A plusieurs reprises il a obtenu la suppression d’articles ou fait pression sur des contenus, l’exemple le plus connu Ă©tant celui de Babor Lelefan qui avait du supprimĂ© une vidĂ©o.

3 « J'aime »

Vous voulez un cas récent ?
il vient juste de tenter de recruter des alternants pour travailler Ă  son domicile.
J’ai pu voir un cv. Je n’aurais pas vu l’ñge du candidat, je lui aurais donnĂ© 12 ans, 14 max.

Les jeunes, ainsi que leurs parents ont le droit de le savoir et c’était le sens de l’avertissement du message d’Anthony, qui a aussi rĂ©pondu, tout comme moi, sur les accusations mensongĂšres.

Grace Ă  Anthony, ce jeune a pu ĂȘtre informĂ© et il a dĂ©cidĂ© de rompre son contrat.
Il ne va donc pas le rejoindre dans sa maison « communautaire Â».
En ce moment mĂȘme, la communautĂ© Blast est en train de retrouver un poste d’alternant Ă  ce jeune. Il a dĂ©jĂ  reçu de nombreuses propositions.

Ce n’est pas la vĂ©ritĂ© qui intĂ©resse sa communautĂ© mais le spectacle que propose cet odieux personnage. Une communautĂ© qui n’a pas Ă©tĂ© capable de vĂ©rifier les Ă©lĂ©ments donnĂ©s.
Ils ont juste acceptĂ© tout ce qu’ils ont lu. Pourtant dĂšs le dĂ©but, il est facile de vĂ©rifier qu’Anthony est au capital de plusieurs entreprises oĂč l’auteur indique le contraire.

Je peux vous dire qu’ils sont l’exact opposĂ© des membres Blast. Qui vĂ©rifient tout.
A tel point que Blast a dĂ» changer les noms des SPV et masquer les cibles, car, Ă  peine le SPV Ă©tait crĂ©Ă©, qu’on Ă©tudiait dĂ©jĂ  la startup.

Enfin, la diffamation a des consĂ©quences. On ne peut pas dire tout et n’importe quoi sans preuve.
On verra si la stratĂ©gie « je suis journaliste j’ai droit Â» va fonctionner vu qu’il n’a mĂȘme pas pris la peine d’interroger les concernĂ©s. Ce qu’aucun journaliste au monde n’aurait fait.

C’est complĂštement hors sujet et n’apporte aucun Ă©clairage quand aux projets de Blast.
On a compris que vous ĂȘtes pro Blast et investisseur dans leur fond maintenant soit vous apportez des Ă©lĂ©ments nouveaux soit vous arrĂȘter de publier (ou alors allez sur Linkedin ou Twitter vous trouverez votre fan club).

10 « J'aime »

Pour ma part je n’ai aucun intĂ©rĂȘt pour blast et tout ce qui tourne autour.
Je trouve tout Ă  fait normal de rappeler qu’un pĂ©dophile est un pĂ©dophile.

2 « J'aime »

Justement : on est bien en train de mélanger les choses.
Si quelqu’un avait dit : « Tiens, il est en train de recruter chez lui, voici mon avertissement Â», alors on Ă©tait dans le cas n°1 que je dĂ©crivais.
Sauf que personne n’a fait ça. L’info a Ă©tĂ© sortie uniquement pour discrĂ©diter l’article, au moment de la sortie de l’article.

Mais ensuite les justifications semblent foireuses, dĂ©solĂ© pour l’expression.
A priori, l’annonce en question (citĂ©e part Anthony Bourbon) est celle-ci : Benjamin Charles on LinkedIn: [OFFRE D'EMPLOI] Toi aussi tu veux changer la France Et combattre
 | 13 comments

Je n’y vois aucune mention :

  • Que ça soit pour des mineurs, la fiche de poste semble avoir des missions qui sont plutĂŽt pour des Ă©tudiants
  • Que ça soit Ă  son domicile, il est mĂȘme question d’une « maison-bureau entiĂšrement dĂ©diĂ©e Ă  l’activitĂ© Â». Je trouve amusant de voir plusieurs fois, ici, dans d’autres forums et chez Anthony Bourbon, citer le terme « maison communautaire Â» qui n’existe visiblement pas dans l’annonce (sauf si y’en a une autre que j’ai pas vu)
  • D’un candidat de 12 ou 14 ans, qui, dans tous les cas, n’aurait pas Ă©tĂ© Ă©ligible Ă  un contrat d’apprentissage

D’ailleurs, puisqu’il Ă©tait question des noms des sociĂ©tĂ©s (lĂ  encore diffusĂ©s par Anthony Bourbon), je suis allĂ© checker les adresses, et Pappers montre clairement que l’adresse de la maison n’est pas celle du domicile. En tout cas si on se fie Ă  ce que disent les documents lĂ©gaux.

Pourtant dĂšs le dĂ©but, il est facile de vĂ©rifier qu’Anthony est au capital de plusieurs entreprises oĂč l’auteur indique le contraire.

On parle de quoi ? J’ai pas retenu qu’il Ă©tait question de faux investissements.

A tel point que Blast a dĂ» changer les noms des SPV et masquer les cibles, car, Ă  peine le SPV Ă©tait crĂ©Ă©, qu’on Ă©tudiait dĂ©jĂ  la startup.

Il me semble que c’est clairement indiquĂ© dans l’article, au passage.

Enfin, la diffamation a des conséquences.

Ca serait un comble que Blast attaque en justice pour diffamation, vu l’odieuse rĂ©ponse faite. Je doute que ça puisse tenir un seul instant.

Par contre je trouve que votre nouvelle rĂ©ponse sur ce fil prouve qu’il y a un mouvement clair, coordonnĂ© et aveugle concernant Blast.

1 « J'aime »

Je vais me concentrer sur Blast vu que j’ai bien compris que pour vous, un pĂ©dophile peut faire le choix d’arrĂȘter d’ĂȘtre pĂ©dophile.

Vous démontrez bien mon propos.
Au dĂ©but de son article, il liste les entreprises oĂč Anthony aurait ou non investi dans l’émission QVEMA. A la due diligence, il arrive en effet que les projets n’aboutissent pas. Ce qui se sait moins, c’est que les fondateurs parfois aussi ne souhaitent plus faire le deal. Donc, Ă  la premiĂšre lecture, ça ne m’avait pas choquĂ©.
Mais j’ai quand mĂȘme vĂ©rifiĂ© 4 entreprises au hasard. Surprise ! Anthony Ă©tait au capital de 3 d’entre elles, contrairement Ă  ce que l’auteur prĂ©tendait.
Je vous propose de faire l’exercice par vous-mĂȘme si vous n’ĂȘtes pas de mauvaise foi.

Je vous confirme qu’une procĂ©dure a bien Ă©tĂ© lancĂ©e.

Je publie toujours tous mes commentaires sans prĂ©venir ou demander l’avis de personne.
Pour ĂȘtre totalement transparent, Il m’est arrivĂ© une seule fois aprĂšs publication de demander l’avis Ă  la communautĂ© pour confirmer que je n’avais pas fait d’erreurs. Ce n’était pas le cas.

Dans la communautĂ©, ce sujet n’est plus abordĂ©. On est passĂ© Ă  d’autres sujets depuis un moment.
Actuellement, des membres nous font un retour d’une visite de locaux d’un fondateur qui les a aussi invitĂ© Ă  dĂ©jeuner.